Le rot et le boire de bébé

(Inclus une Vidéo)

 

Le rot chez le bébé semble banal lors du boire mais pourtant il est si important

Savoir choisir le moment  et la technique afin d’aider bébé à se libérer pour ainsi faciliter sa digestion.

Imaginez-vous après avoir consommé une boisson gazeuse ou une eau pétillante.

Lors que vous sentez que vous avec comme un bouchon qui vos gêne car tout simplement dans le processus de digestion le corps.

Le rot actionne tout naturellement le surplus qui veut sortir.

Et oui, le rot sert à l’expulsion de l’air emmagasiné durant un moment.

Quand nous ingérons un liquide ou un aliment nous alternons dans un mode automatique, ce sans même devoir y réfléchir.

Il arrive parfois que nous avalions trop rapidement tant notre liquide que notre solide.

Peut importe l’âge que nous avons, la digestion à le même besoin en lien avec le rot.

Dès notre naissance, notre système digestif se perfectionne de jour en jour.

C’est pourquoi que lorsque nous sommes bébé, un nouveau-né, nous avons besoin d’une aide autre que nous afin de faciliter notre digestion.

Comme je suis mère et que j’accompagne les enfants et leurs familles par mon service de relevailles, je tiens vous partager cette article afin de vous faire connaitre ou reconnaitre des méthodes que généralement nous utilisons.

Je vous invite à être attentif sur ces techniques et de voir les bons et moins bons avantages reliées à celles-ci.

Quoi de mieux qu’une démonstration visuelle pour compléter l’information sur les différentes positions.

Je vous ai préparé une vidéo.

Une image vaut mille mots.

Je vous décris les 3 positions des mains qui sont généralement choisies lors de l’étape du rot chez bébé et ce pour une seul techniques.

Je crois nécessaire de vous partager ces choix d’impositions des mains afin de vous conscientiser sur l’impact de celles-ci sur le corps de bébé, si ce n’est pas déjà fait.

La technique présente se réalise en plaçant bébé en position assises.

Choix de la position des doigts et de la main dominante.

Le rot et le boire du bébé vu par ses 3 positions principales

1^ère position : Dans le creux des joues

Serrez les joues entre les deux doigts créant ainsi un inconfort chez bébé.

Impact : L’enfant aura une difficulté à avaler normalement.

Sensation de bien contrôler la tête, mais c’est trop rigide à mon avis

 

2^e position : Sur l’articulation des mâchoires

Placez les doigts de chaque côté au niveau des articulations de la mâchoire peut parfois être douloureux chez bébé, selon la pression exercée.

Impact : La mâchoire pourrait naturellement créer un effet compensatoire du côté opprimé, et ce, de façon involontaire et non perceptible chez l’adulte appliquant la méthode.

Sensation de bien contrôler la tête mais c’est trop intense pour la jeune mâchoire en croissance, à mon avis.

 

3^e position : Sous l’os de la mâchoire inférieure

Placez la partie ronde entre le pouce et l’index sous la mâchoire.

Ni trop devant : effet de pousser le menton.

Ni trop derrière : effet e venir pousser sur la gorge.

Impact : La mâchoire sera bien retenue, sans aucune pression nécessaire.

Une sensation réelle de bien contrôler le mouvement de la tête de façon naturelle.

En toute délicatesse offrant un confort accru durant toute la durée du rot.

 

À noter que dans les postions 1 et 2 :

Dans le cas où bébé aurait besoin de sortir un jet, un reflux lors de sa digestion, l’ouverture de la bouche serait moins disponible à évacuer en douceur.

De plus, la personne tenant la tête lors du rot pourrait avoir ses doigts, sa main trop près de la bouche du nourrisson.  Ce pratiquant se verrait probablement à recevoir directement ce liquide, indésirable disons le.

En conclusion, durant la période du rot, il se peut que l’enfant ressente le besoin de faire un ou plusieurs rots selon le niveau de sa digestion.  Considérez cette étape est importante afin d’assurer un dégagement en entier.

Je vais me permettre d’aller un peu plus loin avec ma réflexion.

Considérant que nous transportons dans notre parcours de vie les mémoires des blessures de notre vie, et ce même pouvant débuter avant notre arrivée dans cette vie.

Alors offrons les meilleures conditions au receveur afin de maximiser au départ une croissance optimum.

Comme certain d’entre vous savez que si les blessures physiques et ou émotionnelles créent inconsciemment des blocages, des peurs, des limitations.

Voici quelque exemple :

• Claustrophobie (se trouver dans un endroit étroit, être serré trop fort)
• Peur de la douleur
• Vouloir aider
• Être prévisible

Important d’aller dans le sens opposé de la douleur.

Choisir la douceur et la bienveillance.

 

Chantal